Cet ouvrage est en librairie depuis mai 2018.
Je l’ai découvert quelques semaines avant sa sortie et je m’y suis plongé. C’est un des rares ouvrages qui ne demande pas de publicité tant on est certain que c’est le bouche à oreille qui va fonctionner. Et je pense que l’éditeur en a été conscient.
Un bon placement dans toute la francophonie lui a assuré un bon lancement… Et cela a fonctionné.
La lecture de ce récit vous plonge au coeur de l’enfer.
C’est l’histoire vraie d’un déporté, Lale Solokov, Juif chargé de tatouer les femmes arrivant à Auschwitz.
Sous un ciel de plomb, des prisonniers défilent à l’entrée du camp d’Auschwitz. Bientôt, ils ne seront plus que des numéros tatoués sur le bras.
Il travaille le regard rivé au sol pour éviter de voir la douleur dans les yeux de ceux qu’il marque à jamais.
C’est ainsi qu’il rencontre Gita et en tombe amoureux.
la jeune femme devient sa lumière dans ce monde d’une noirceur infinie. Ils savent d’emblée qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Mais dans cette prison où l’on se bat pour un morceau de pain et pour sauver sa vie, il n’y a pas de place pour l’amour.
Ensemble, ils partagent des moments volés au coeur de l’horreur, sans jamais perdre l’espoir d’être réunis à leur sortie du camp.
« On va survivre et on vivra dans un endroit où on sera libres de s’embrasser quand on veut… »
Ils doivent se contenter de minuscules moments de joie, qui leur font oublier le cauchemar du quotidien. Mais Lale a fait une promesse : un jour, ils seront libres, deux jeunes gens heureux de vivre ensemble. Deux personnes plus fortes que l’horreur du monde.
L’histoire vraie d’un couple amoureux au coeur de l’enfer.
Heather Morris est journaliste. Elle prête sa plume à Lale Sokolov, un ancien déporté, qui lui a raconté son histoire. Ce témoignage, un best-seller mondial, a été traduit dans une quinzaine de langues et est en cours d’adaptation au cinéma.